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Le sang sur ses mains | Siobhán
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« La marquée »
| Sujet: Le sang sur ses mains | Siobhán 14.10.15 17:36 par Siobhán Balfe | Citer Editer Supprimer |
| Les informationsSiobhán est une femme de la terre. Préférant suer sang et eaux pour obtenir ce qu’elle veut plutôt que d’attendre l’approbation d’une entité divine. Malgré tout, cela ne signifie pas qu’elle va à l’encontre des lois divines. Femme de peu de foi, elle a été déçue par la religion, qui ne lui a pas offert la paix intérieure. Sœur jumelle d’Yseult Balfe Verbeek, elle a l’impression de se sentir coupable et de ne pas avoir vu les signes de son geste inconsidéré. Dans sa tête, c’était comme si elle qui avait mit le nœud autour de la gorge d’Yseult. C’était comme si elle était un souvenir vivant cette tragédie. Une version impure de la Dame Blanche. La jalousie, l’errance, cet adoration des choses matérielles, font partie également des affres de la scientifique, qui se perd et se cherche, tentant à se détruire, mais qui n’y parvient jamais. Alors elle continue de construire sa place dans la société, comme un fruit pourri avec discorde et sang. Chimiste de formation, la trentenaire, a récemment était promut comme chef de son service. Elle s'occupe maintenant des essences, allant de leur conception à leur commercialisation. Ce poste à responsabilité lui procure du pouvoir, mais également une voix dans le conseil de la société. L'accession à des parts de Corb, lui a permit de s'élever et de rentrer dans les cercles privés du niveau 1. Les liensPour établir un lien entre nos personnages, je demanderais qu'il débouche au minimum sur un rp, afin de le rendre effectif.Bien entendu si vous avez d'autres idées n'hésitez pas ! ;) Voisin(s) : Que se soit des anciens quand elle vivait dans le niveau 2 ou bien ses nouveaux voisins depuis qu’elle vit dans le niveau 1. Ce lien peut tout à fait neutre, tel un salut cordial dans l’ascenseur, positif à s’entraider, ou bien totalement négatif, comme par exemple être excédé par la musique qui s’échappe de l’appartement de Siobhán. Rival(e) : Que ça soit au masculin ou au féminin, et bien entendu dans n’importe quel domaine, travail, argent, bijoux, mode, etc. Ils se font une guerre cordiale pour savoir qui est le meilleur dans son domaine. Même si lorsqu’ils ne sont pas ensemble, ils n’hésitent pas à se casser du sucre sur le dos. Amant(s) : Se sont des hommes qui ont passés du temps avec Siobhán et ceux pendant un long laps de temps. Pour ceux dont qu’elle a connu dans sa jeunesse, il y avait parfois des sentiments, qui est devenu une amitié. Mais plus elle vieillissait, plus c’était seulement physique, sans chercher réellement à se connaître un minimum. SecretIntitulé : En l'an 114 elle a changé sa place avec sa sœur. Son vrai nom est Yseult Balfe. La véritable personne a avoir été nommée comme Déité. Personnes au courant : — Odéon Verbeek. Siobhán ne sait pas que son beau-frère est au courant de cette information. Évolution du personnageL'an 125 : — Durant l'année ; secret découvert par son beau-frère. — 30 mai 125 ; Siobhán à commencer à entretenir une relation amoureuse ambiguë et secrète avec Saül Darwin le Gardien en poste. — 23 juillet 125 ; Siobhán est présente lors de l'incident au port, elle a la main et le poignet légèrement brûler. Elle n'en gardera qu'une petite cicatrice. Mais le choc psychologique l'a bel et bien marqué l'enfonçant un peu plus dans les abysses. Les propriétésHabitation : L'amarante son appartement dans le cœur de la cité au niveau 1. Les icônes
Dernière édition par Siobhán Balfe le 02.09.16 23:53, édité 52 fois |
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| Sujet: Re: Le sang sur ses mains | Siobhán 14.10.15 17:46 par Siobhán Balfe | Citer Editer Supprimer |
| Yseult Verbeek — Soeur jumelleYseult et Siobhán sont de véritables jumelles. On ne peut pas les différencier sur le niveau de leur physique, mais en revanche, leurs caractères sont bien distincts. Dès leurs naissances, les deux femmes étaient inséparables. Yseult partageait ses doutes avec son double, qu’il s’agisse d’histoire d’amour, de ses peines, etc. C’est en l’an 114, que les deux femmes ont commencé à se séparer ; ne se voyant plus, chacune ont fait leur vie de leurs côtés. Toutefois, elles ont continué un petit manège qu’elle faisait enfant, à savoir s’écrire des messages codés, et à s’échanger un bracelet chaque année, à la date de leur anniversaire. Depuis la mort de Yseult, Siobhán s'engouffre un peu plus vers la décadence et la fin. Jensen Bauer — Ex-mari Aux yeux de Siobhán ce mariage était l'une des plus belles erreurs de sa vie. Même si cette année à vivre ensemble lui a fait ouvrir les yeux et fait prendre conscience qu'elle devait chercher quelque chose dans la vie plutôt qu'une vie de couple stable, et tout ce qui s'en suit. Mais leur relation était tordue, et presque bestiale, où chercher à se faire mal était plus important que tout. Des piques bien placées et blessantes, parfois à en venir aux mains, ou bien faisant voler des objets. L’amour passionnel a tourné au drame. Leur union qui a duré de l’an 115 à 116 fut brève, mais intense. Il espérait fonder une famille avec elle, mais ce n’était pas dans ses priorités à elle. Dès lors, le couple se sépare. Moira Breen — Enquiquineuse Depuis le suicide d'Yseult, la scientifique se fait harceler, ou tout du moins, elle ressent de cette façon, par la journaliste. Préférant garder ces informations pour elle, Siobhán a demander une injonction de restriction et à gagner gain de cause. Maintenant, que la journaliste n'a plus le droit de s'approcher d'elle à partir d'une certaine distance, elle peut souffler enfin. Saül Darwin — Son gardienA son encontre son cœur lui dit une chose, tandis que son esprit lui en dit une autre. D’un sentiment d’exaspération négatif et qui aux yeux de la scientifique était incapable de changer. Siobhán c’est surprise à imaginer sous une toute autre facette. Il y avait d’abord son interrogatoire sur sa sœur qui la mettait mal à l’aise et surtout en colère. Puis il y avait ce baiser dans le Nautilus. Il devait mettre fin à ses questions, mais également à la fin de leur rencontre. Après ce geste, qu’elle considérait comme une bêtise, elle ne pensait plus le revoir. Pourtant lors de la soirée de Corb, elle a essayé de l’ignorer, puis d’être désagréable au possible. Et finalement sous les effets de l’alcool et des essences, elle c’est surprise à se laisser aller dans ses bras, à danser avec lui et à l’embrasser passionnément. Depuis ce jour, elle entretient une correspondance secrète avec lui. Leur lettre oscille entre luxure, tendresse, passion, peur et confession. Au final, elle commence à découvrir un homme derrière ce personnage public qu’est le gardien, quelqu’un auquel elle s’attache, peut-être trop même. Elle se surprend à le penser comme un pilier dans sa vie, une relation ambigüe physique et spirituelle. Lien à évoluer. Arsène Le Roy — L'huîtreSon suborné insubordonné, voilà comme la scientifique le décrirait. Elle se dit que cette petit huître pourrait cacher une magnifique si elle daignée s’ouvrir au lieu d’être vexée comme un pou. Elle c’était dit qu’il pourrait bien un jour prendre sa place. Mais maintenant elle hésite. Il est trop borné pour ça. En revanche, elle ne serait pas contre pour le frapper à coup de savate. Lien terminé. Gíl Dylman — Fausses idées Pour Siobhán, Monsieur Dylman était un mélange de gentleman mêlé à un homme aux mœurs légères. A ses yeux la première rencontre avait eu lieu lors du bal de Corb, même si en vérité, elle l’avait rencontré bien avant, mais elle n’en avait aucun souvenir. A son sujet, elle avait établit tout un scénario quand elle l’avait vu au bras d’Azores, un homme qui en publique est capable de jouer les chevaliers servants, mais qui en privée se trouvaient être un homme vigoureux et sanguin. Tout du moins c’était le coup sur le corps d’Azores qui lui avait donné cette idée. Malheureusement quand elle le rencontra à nouveau, la scientifique avait tord sur toute la ligne. Ce n’était pas un homme sanguin, mais un gentleman avec un certain parlé. Ce qui était bien dommage, Siobhán aurait pour une fois bien partagé. Odéon Verbreek — Beau frère Outre le fait que bon nombre de personnes pourraient croire qu’un lien physique ait pu les lier un jour, Odéon est et sera toujours son beau-frère. Siobhán ne nie pas qu’il correspond aux critères physiques qu’elle aime, et que même si sa sœur ne c’était pas mariée avec lui, elle aurait pu tenter sa chance. Mais maintenant c’est quelque chose de clair et net, il n’y aura rien du tout. Depuis le décès de sa sœur, elle tente de s’approcher de lui, afin de resserrer les liens de la famille. Elle a tentée à sa manière de lui faire comprendre qu’elle avait besoin de soutien, qu’elle existait également, qu’elle était aussi un être humain capable de crier, d’avoir peur, d’avoir mal, mais il reste dans son mutisme et ses aprioris. Ce qui exaspère la scientifique, qui ne trouve alors qu’une solution, tenté de le blesser moralement, pour lui rendre la monnaie de sa pièce. Depuis l’accident, toutes les tentatives de rapprochements on fini par tomber à l’eau. Entraînant par la même occasion une séparation avec le dernier lien qui pouvait subsister entre eux. Comprenant et ne cherchant pas à remettre sa décision en cause. Siobhán regrette tout de même de ne plus pouvoir voir son neveu. Dernier souvenir innocent que sa sœur avait laissé dernière elle. Lien terminé. Azores Lullaillaco — Amitié Azores est ce qui pourrait se rapprocher le plus d’une amie pour Siobhán. Au départ, elle lui fournissait des essences, par le biais d’un message adressé de la part d’Yseult. Et maintenant, elles passent du temps à faire des commérages, à inventer des vies à de total inconnus, tout ceci pour s’amuser. Malgré tout, une incompréhension totale se fait face à Azores, qu’elle à renommer poisson clown. Comme si le faussé entre les artistes et les scientifiques étaient encore plus grand, et qui s’écartaient à mesure qu’elle se côtoyait. Si bien que lorsqu’elle fait l’enfant à ses yeux, elle n’hésite pas à lui faire morale. Même si au plus profond d’elle, la scientifique lui envie cette facilité à ne pas avoir peur, à être capable de laisser couler, et vivre, se lasser, remplacer ce qui ne va pas. Chose que Siobhán à du mal. Lien à évoluer. Alastair Quinn — PDG Corb Entre les deux personnalités, c’est une guerre ouverte qui se déroule. Les armes sortent de plus en plus rapidement à mesure que des problèmes se font sentir au sein de la société. A ses yeux, Monsieur Quinn est un rigolo qui passe plus de temps à trembler de peur, ou pire à se tourner les pouces. Elle n’estime pas que ses décisions soient pour le mieux de la société, et elle ne se gêne pas pour le lui faire comprendre. Et à partir du moindre écart de conduite, elle le tient dans son collimateur. Au final, Siobhán n’a pas eu temps de chercher la moindre erreur qui pouvait le porter en porte-à-faux puisque le PDG est mort presque sous ses yeux. Malgré tout, elle estime que la fin qu’il a eu n’était pas digne de sa personne, ni même d’un quelconque homme, c’était une mort que l’on réserve à un nuisible rien de plus, rien de moins. Mais sa disparition l’a tout de même choqué au plus profond de son être et le vide qu’il laisse derrière lui et avec l’absence d’Odéon Verbeek, le bras droit, l’oblige à avoir plus de responsabilité qu’elle ne le désirerait pour le moment… Lien terminé. Raleigh Cohen — Collègue Lien à écrire. Aaron Dawkins — Amitiée malsaine Lien à écrire.
Dernière édition par Siobhán Balfe le 29.08.16 23:11, édité 5 fois |
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| Sujet: Re: Le sang sur ses mains | Siobhán 20.10.15 2:37 par Siobhán Balfe | Citer Editer Supprimer |
| Et voilà, vous pouvez maintenant poser vos idées de liens, afin que l'on puisse en discuter.
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