Tout d'abord,
La réincarnation dans son oeuvre originel - Stany est la réincarnation de Prométhée qui est sage et prévoyant. Il est chargé par Zeus de créer la vie sur terre et son frère de répartir les dons entre les êtres vivants. Il est le réfléchit de la paire mais aussi celui qui vole le feu aux dieux pour l'offrir aux hommes et leur enseigne les arts. Dans ce sens il est aussi celui qui veut porter les hommes à l'égal des dieux et qui n'eut de cesse que de montrer l'iniquité qu'il juge anormale. Jusqu'à la fin, avant que Zeus n'inonde la terre de pluies diluviennes, il parvient encore à sauver sa création en prévenant son fils Deucalion et sa femme Pyrrha pour qu'ils construisent une barque et y échappent. Ils créeront par la suite la nouvelle espèce humaine. La réincarnation dans le forum - Une profonde croyance en la nature humaine. Pour lui tout est possible quand l'homme le veux et il est seul maitre de son futur. Ne venez pas le voir en lui disant avoir perdu toute fois en l'Homme car pour lui ce dernier est plein de ressource et toujours prêt à surprendre. Il y croit, il croit en cette force qui pourrait nous sauver tous. C'en est presque une religion. De sa réincarnation il garde aussi le calme et le réfléchit qui le caractérisent et en font un homme que l'on pourrait presque dire sage. Pourtant comme chacun il en est bien loin mais fait de son mieux pour s'en rapprocher. Il saura aussi, au besoin et par ce que ses convictions sont pour le moment inébranlables, passer au delà des interdis pour faire ce qui lui semble juste. Cependant il faudra pour cela un sacré dileme. Ca n'est pas une soif intarissable de justice mais plutôt une conviction profondément ancrée en lui selon laquelle l'équité et la justice font loi pour lui. C'est un peu le mince filet d'or de cette montagne de pierres austères.
Pour mieux connaître,
Tics et manies - Fixer une personne quand il réfléchit. Ca peut être déstabilisant et même surement gênant mais il n'y peut rien, son regard se fixe sur quelque chose et en général c'est vivant et ça n'aime pas trop ça. Retirer et mordiller les branches de ses lunettes là encore quand il est en train de réfléchir. C'est un peu le tic par défaut quand il n'a personne à fixer. Quand il s'ennuie il lui arrive aussi de fermer les yeux et masser ses globes oculaire. Ca sonne un peu sale dit comme ça mais ça n'a rien de bien différent de se masser les tempes. D'ailleurs il le fait aussi, à l'occasion. Sinon il ouvre toutes ses lettres avec un coupe papier bien précis qui l'accompagne partout. Hobbies - La lecture de ses grandes idoles bien évidemment mais il s'exerce aussi au piano à ses heures perdues. Il passe aussi un certain temps à fixer par la fenêtre et à détailler mentalement le moindre centimètre carré de ce qu'il peut observer par ce trou de cloison. Il aime aussi correspondre par par lettres papier et ne possède d'ailleurs ni internet ni connexion. Il a du cependant se munir d'un téléphone en état ce marche, de ceux qui ne se vendent plus et ne font qu'appels et sms en majuscule uniquement, s'il vous plait. Phobies - On ne peut pas vraiment qualifier ça de phobie mais il a extrêmement peur de perdre le contôle de ce qu'il entreprend. Aime - Stan aime le sucré par dessus tout. Une petite addiction bien mauvaise qui le tire peut à peut vers le diabète, il en est conscient mais il persiste. Aucune sucrerie ne lui échappera. Ce qui peut paraitre surprenant quand on voit son air sérieux qu'il arbore sans arrêt. Il aime aussi la musique classique qui le contente particulièrement son coté rationnel maladif. Dans le même style il apprécie beaucoup la peinture et particulièrement le courant réaliste du milieu du XIXeme. Pour ce qui est de la littérature il lit Zola et surtout ses romans les plus connus comme L'assommoir ou La bête humaine; mais aussi tous les auteurs qui lui sont rattachés ainsi le Parnasse en poésie. Aime pas - Ce qu'il n'arrive pas a expliquer, le surnaturel (ça n'existe pas), le genre , ce qui est amer, But - Vivre correctement et au mieux aider à son échelle à redonner à Venise de sa superbe.
Physique,
Corpulence - Correcte malgré un petit ventre. Yeux - Bleus virant au gris en fonction du temps/ de la lumière. Cheveux - Brun un peu 'longs' un peu ondulés. Style vestimentaire - "Je porte les pulls de ton grand père et ça me va bien." Signes particuliers - Des lunettes de vue un peu grosses, un style indéfini. Des yeux gris-bleus qui frappent parfois par leur clareté, un air blasé attaché au visage et une barbe de 3 jours qu'il se trimbale sans arrêt.
Caractère,
Qualités - Stanislas est patient par ce qu'il prend le temps de réfléchir et de visualiser chaque chose. Il est mesuré et sait prendre les décisions quand il le faut sans débordements. Il s'énerve rarement, et reste toujours très calme. La colère qui monte en lui est une rage sourde qui ne se dévoile pas, même quand on gratte. Il sait rester raisonnable, car de toute façon voila toute sa vie : la raison. Au final il est tout dans la mesure et le silence on pourrait presque penser qu'il est à l'écoute pour tout et tout le monde, l'oreille attentive qui saura écouter vos petits problèmes de coeur ou vos déchirements quand a votre futur achat. Même si au fond il s'en fiche. Défauts - Mais de ce fait on le trouve lent, par ce qu'il réfléchit sans doute trop et retrourne trop de choses dans son esprit déjà bien torturé. Son air serrieux peut donne l'impression qu'il est aigri. Il est aussi borné et blasé. On ne le répètera jamais assez mais avec cet air feint de je-m'en-foutiste il figure lassé de tout.Triste, gris et froid comme un roc on vous affirme. Que pensez-vous de la situation actuelle de Venise ? Décevante mais on peut y faire quelque chose. Le tout est de le vouloir. Êtes-vous pour la guerre ou la paix ? Pour la justice et si pour cela il faut une guerre. Mais il faut avoir envisagé toutes les issues avant de se tourner vers celle là. Êtes-vous prêt à prendre part à la discorde ? Pas avant d'avoir prit le temps de réfléchir et d'analyser chaque parti et chaque option envisageable. Petit plus : C'est comme si brusquement vous vous retrouviez face à un mur. Un bon gros mur de pierres bien lourdes, grises et sans âme. Quel que soit le nombre de tours que vous en faites il n'y a rien, aucune fissure apparente, juste la végétation qui commence à l'envahir lentement mais sûrement. C'est comme si ce visage renfermé avait été façonné dans le marbre, comme ces sculptures de Michel-Ange qui semblent si réelles et si fines et qui pourtant vous feraient pousser un cri si jamais elles s'animaient. C’est comme cela, vous vous attendez à tout moment à un mouvement, une respiration tant la ressemblance avec le vivant est saisissante mais pourtant vous hurleriez de stupeur, vous auriez une attaque si ça se passait, tant vous êtes persuadés se son immobilité. Non qu'il ne ressente rien, non qu'il ne vive pas ou ne soit touché par les choses. Il semble juste hors du temps, hors de la vie. Par ce que tout lui semble indifférent. Il n'a juste la place que pour le concret, le réel, le possible, la stabilité. Ne lui parlez pas de vie extra-terrestre, de fantômes, d'autres galaxies, de mondes parallèles. Ne cherchez par à l'embrouiller avec de sordides histoires de revenants tueurs, de pantins possédés, de Diable. Pour lui le mal est humain, la violence est humaine, la peine et la douleur le sont aussi. L’homme est une source tarie, un puits sans fond. Tout vient de l'homme il en est convaincu. La folie aussi, mais à son humble avis, jamais elle ne s'emparera de lui. Reste à lui démontrer que tout cela est faux et qu’il ferait mieux de se tenir sur ses gardes. La folie est toujours tapie dans le plus sombre des esprits, vous le savez mais lui ne le sait pas. C’est donc à vous de lui prouver qu’au contraire, il est plus susceptible que personne de perdre sa tant aimée « raison ». Histoire,
Né sur le sol français d'une mère Italienne partir suivre son amant en France le petit Stanislas a grandit dans un petit appartement de gardienne d'immeuble dans le grand Paris. La vie grouillante et la langue française ont donc bercé son enfance. Les halles aussi, les marchés des rues attenantes et les enfants bien propres sur eux des différents propriétaires de ces immenses appartements sur étages complets. L’odeur de la lessive et du fer à repasser dans le salon. Sa mère qui repassait le linge pour arrondir les fins de mois, le chocolat Poulain dans le lait au gouter et son père qui quitte la maison en claquant la porte un 9 mars laissant un gros silence lourd dans le petit appartement. Stanislas ne saura jamais pourquoi et ne demandera pas. Il ne cherchera pas non plus à savoir ce qu'est devenu son géniteur mais en gardera le patronyme. Et les petites voitures aussi, seul souvenir pour un gosse de 9 ans qui se retrouve seul avec sa mère. Pourtant la vie continue et bien vite on ne parle plus qu'Italien à la maison. Les histoires de pays beau comme le soleil remplissent les salles et colorent les murs. On sort de vieilles photos et on parle de la famille restée en Calabre. Deux ans plus tard il commencera à s'y rendre pour les grandes vacances et par la suite, 6 ans écoulés, il y retournera valises en mains pour retrouver sa famille, accompagné de sa mère. Par la suite il quittera le domicile pour aller parfaire ses études à Naples et à l'occasion refaire quelques retours vers la France. Ses études terminés il se cherchera encore, enchainant des boulots plus ou moins plaisant avant de se retrouver, sans trop savoir comment à Venise. Les descriptions de sa mère s'estompent et les illusions perdent peu à peu leurs couleurs. La réalité lui tombe dessus mais sui est-il pour la refuser ? Stanislas a aslors 30 ans et ses petits bagages sur le dos il ne sait otujours pas quel tournant prendra sa vie.
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