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[Quête] Petits papiers — N. 0 — Janvier 125 | LIBRE
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« PELAGIA »
| Sujet: [Quête] Petits papiers — N. 0 — Janvier 125 | LIBRE 25.10.15 19:50 par Seisyll E. Hilbilge | Citer Editer Supprimer |
| Tout avait commencé, ce matin-là, par une absence inexpliquée de Paon au checkpoint croquette de 11 heures, checkpoint auquel il ne manquait jamais de remplir et cette absence avait plus qu’inquiété Seisyll qui s’était empressé de passer une chemise et d’attraper sa canne, après quelques appels répétés par la fenêtre. Paon était, avec Majorelle, l’un des premiers chats qu’il avait adopté, au moment de sa réclusion forcée après la mort d’Angus et à la première chute de la compagnie. Aussi Seis était particulièrement attaché au gros matou noir dont les passe-temps favoris revenait à manger, dormir et à rapporter ses trophées chaussettes, en bon chat kleptomane qu’il était, passion qui lui avait apporté quelques coups de balais des ménagères du quartier. Il lui était aussi arrivé de ramener des choses plus étranges comme un chapeau de femme assez chic (quand on voyait la taille de l’animal par rapport au chapeau, on pouvait aisément se demander comment il avait fait pour se trimbaler la chose jusqu’au cinquième étage) ou encore cette fois où il avait ramené un tesson de flacon d’essence, de l’onde pour être exact, ce qui avait entrainé un remontage de bretelle de l’animal qui n’avait probablement rien compris. Au moins, il n’avait jamais recommencé. Si Majorelle avait été duchesse et femme du niveau 1 délaissée dans sa vie antérieur, Paon, lui avait été probablement chien. Ou voleur de bas étages. Ou alors avait-il développé une obsession pour les chaussettes. Fabriquant de chaussette peut être ? Quoi qu’il en soit, il était fort probablement que l’animal, à défaut de chaussette, eut débusqué une nouvelle « proie » requérant son attention, proie pas forcément sans danger pour lui. C’est comme cela que Seisyll s’était engagé au milieu de la foule, appelant son chat, vérifiant les ruelles, à la recherche de sa boule de poil favorite. Il finit par le retrouver, dans un coin un peu excentré du quartier Est, à proximité du temple Juve, au milieu des boites. Tiens, d’habitude, ce n’est pas ton truc, les boites, c’est plus Marine la reine des boites. C’est en s’approchant un peu plus qu’il s’aperçoit que l’animal à jeter son dévolu sur une lanière en cuir. Seis fronce les sourcils et au prix d’une contorsion compliquée, s’abaisse pour observer ce à quoi correspond cette lanière. Cela commence d’abord par un ordre. « Lâche, Paon. » Paon s’en fiche, Paon est en bataille avec la lanière qui ne veut pas se détacher du reste, Paon a décrété que la lanière serait un super trophée, son super trophée et que rien ni personne et même pas sa main nourricière ne pourrait le détourner de son objectif final. Sauf si la main en question soupire et l’attrape pour lui faire lâcher la sacoche. Le matou aux longs poils noirs et aux opales grises commence à se tortiller avant d’abandonner. Finalement, les bras, c’est bien aussi, l’épaule, c’est encore mieux et c’est l’heure de la bouffe. De sa canne, Seisyll chasse les cartons avant de faire remonter ce qui pend à la lanière de cuir. Une sacoche. Boitillant vers la rue principale, Seis examine l’objet, la retourne. Une sacoche pleine. Le mieux serait de demander dans le café dont la ruelle sert de débarra, ce qu’il fait, non sans avoir ouvert pour voir si la sacoche contient quelques liquidités. Pas de quoi sauter de joie ni valoir le coup d’être voler. Seisyll passe la porte du café « Eh ! Patron, un de vos clients auraient perdus sa sacoche ? Parce que j’ai trouvé ça dans la ruelle. » |
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« La marquée »
| Sujet: Re: [Quête] Petits papiers — N. 0 — Janvier 125 | LIBRE 26.10.15 0:03 par Siobhán Balfe | Citer Editer Supprimer |
| Pinaillant et commerçant. C’est ainsi que la trentenaire passé passa une bonne partie de sa journée. Elle désirait s’offrir une bonne bouteille d’alcool. Quelque chose de contrebande, qui frôle presque l’illégalité. Mais que c’était bon. Dans son tailleur vert d’eau, elle discutait vivement avec le patron du café. Les gestes se font vifs. Elle aborde le même vocabulaire que l’homme, afin de se faire comprendre au mieux. Elle s’oriente, et cherche à lui échanger une bouteille d’alcool, contre autre chose. Le barriste se tâte. Il veut bien le faire mais il ne sait pas contre quoi l’échanger. Cette bonne bouteille de whiskey. Elle voulait la gouter, même s’il ne s’agissait pas de son alcool préféré. Possédant un arrière goût qui a du mal à marier avec les odeurs et saveurs des essences. Mais bon pour une fois, elle le buvait nature, avec un glaçon pour accompagner le tout. Une voix se fait entendre dans son dos. Elle s’arrête de parler, et se retourne vivement, son chapeau restant parfaitement place grâce à l’épingle qui se trouvait dans ses cheveux. « Vous permettez ? Je discutais avec le monsieur avant. » Hélait-elle simplement, la langue claquant contre son palais. Alors elle recommençait à discuter avec le garçon de café. La discussion commençait à partir dans tous les sens. Elle ne pouvait plus garder le troc initial, son exaspération prenait le dessus. Siobhán s’humectait les lèvres, sa cicatrice sur sa joue commençait à lui tirer. Un sale souvenir de l’explosion, cet attentat dans le temple pourpre. Si seulement elle pouvait mettre la main dessus, la scientifique le tuerait de ses propres mains. Pendant toutes les nuits de ses cauchemars, qui se transformaient en terreur nocturne, elle avait élaborée différent moyen. Comme par exemple la vivification, le peler comme orange, ou bien même lui inoculer la petite rouge. Oui le voir avec des pustules avant qu’il ne s’étouffe à cause d’une grosseur se développe dans sa gorge ou bien dans ses poumons lui coupe la respiration et l’amène à s’étouffer dans sa propre mélasse. La conversation tournait en rond. Elle soupirait vivement, ses mains venant à claquer sur sa hanche exaspérée. « Voilà, vous êtes contant ? Une bouteille d’Appleton de clinquants ans d’âge qui me passe sous le nez. Vous avez intérêt à ce que ça soit important. » Maugréait-elle dans sa barbe, insatisfaite.
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« PELAGIA »
| Sujet: Re: [Quête] Petits papiers — N. 0 — Janvier 125 | LIBRE 02.11.15 18:37 par Seisyll E. Hilbilge | Citer Editer Supprimer |
| Une dame. Elle fait tache dans le niveau 3.Presque plus tâche que lui, maintenant qu’il a réussi à s’intégrer dans le paysage. Il y a juste ses mots qui le trahissent et encore, les gens qu’ils côtoient ont pris l’habitude. C’est le roi des mots croisés, il connait forcément les mots bizarres et inusités de ce monde pour pouvoir noircir ses grilles. D’ailleurs, ça lui fait penser qu’à force de courir après Paon, il n’a pas eu sa séance quotidienne de jeux de mots pour se torturer les méninges. Il n’a pas non plus attiré son attention sur le jeu de stratégie proposé changeant chaque jour sur le journal qu’il lit assidument. Lundi, c’est les échecs. Mardi, le Backgammon. Mercredi, le Shogi. Jeudi, le Go (Le jeu vient de la surface, les règles sont immensément compliquées et le type en charge de la rubrique galère un peu. Seisyll aussi du coup mais le jeu en vaut la chandelle). Encore Echec le Vendredi. Les dames le Samedi. Et le dimanche, il s’en fiche, le dimanche, c’est Bridge et il a horreur de ce jeu de carte dont il n’a pas saisi la finesse, s’il y en a une. Quoi qu’il en soit, ça lui manque, c’est une vraie drogue. Il a besoin du journal. On revient sur la dame. Une dame qui n’a rien à faire au niveau trois à moins d’avoir des choses pas nettes à accomplir. Seisyll fixe le patron qui le regarde lui, ce boiteux barbu et le chat noir qui ronronne contre lui dans ses bras. Seisyll qui laisse trainer ses oreilles, il est question d’alcool, d’alcool pas net. Il écoute, d’une oreille, allant s’installer à une table en réclamant un café et une gamelle d’eau pour le chat qu’on lui apporte sans tarder. Balance, même, serait le terme plus exact. Paon s’installe, s’avachi sur la table, contre le mur, offrant son ventre à une caresse qu’il ne tarde pas à avoir. D’ailleurs, son maître fini par détacher la lanière du sac pour lui refiler. Alors Paon est un chat heureux. Il a des papouilles, une place chaude et confortable et son objet de convoitise rien qu’à lui parce que l’humain a cédé. Il est donc le roi. Un roi Paon qui parade. Seisyll s’assoit, étend sa jambe, sortant de manière soigneuse les documents de la serviette, commençant à les lire. Il ne relève même pas la tête quand la femme lui reproche de lui avoir perdu son deal. Il préfère finir sa page et la poser calmement. Une pause. Un peu de d’observation, il analyse l’air de rien l’attitude du garçon de café, remarque les tremblements dans les mains du jeune homme. Il esquisse un sourire. « Si je puis me permettre, madame, proposez lui une bouteille d’Enflammée, de qualité supérieure. Je pense que, pour ça, il pourrait vous offrir trois bouteilles d’Appleton. Et sa reconnaissance éternelle. Je me trompe ? » Froideur, dédain, regard inquisiteur. Seisyll n’aime pas l’essence, même s’il a fallu jouer avec les mots de sa promesse, pour préserver son protégé. Dédains qui s’appliquent aussi à la dame. « Avez-vous de l’Altruisme, Madame ? Même de l’Altruisme intéressé. Cette serviette à un propriétaire. Pour ma part, je prélèverais ma dime avant toute chose, parce que je l’ai trouvé, c’est un fait, c’est normal. Mais ma jambe et mon métier m’empêche de vagabonder comme je le souhaite à Pelagia. Je pense que c’est maintenant que vous entrez en jeu. Je pense que Monsieur … Latimer ? Oui, c’est ça. Monsieur Latimer cherche sa serviette maintenant qu’il a assez couru les jupons des prostitués du niveau 3. » |
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« La marquée »
| Sujet: Re: [Quête] Petits papiers — N. 0 — Janvier 125 | LIBRE 03.11.15 20:05 par Siobhán Balfe | Citer Editer Supprimer |
| Sa tact passe dans ses cheveux cendrés et crantée. Elle fini par s’attarder contre sa nuque, massant la chair qui se fond dans les muscles pour finir par se complaire contre les os. Ses petits disques empilées les uns sur les autres. Aussi fascinant que la tour de Babel. La langue de la jumelle se coince entre les dents, face à pique qui se réplique contre elle et son troc. Quelque chose d’aussi bas ne mérite même pas un haussement d’épaule. Siobhán fini par poser le regard sur le commerçant, il était partie vaguer à d’autre occupation, elle roulait des yeux. Ce qu’il pouvait ressembler à une abeille butinant d’une fleure à une autre. Finalement, elle s’attardait à lui répondre. « Ou pas. » Parfois les gens n’avaient pas le sens du prix des objets ni de leur rareté. Une bouteille à plus de mille sous, ne valait pas une bouteille d’essence. Ses doigts pianotés sur la rambarde de métal. Elle haussait les épaules. Ce n’était pas son problème à elle, si les gens ne savent pas où il range leurs affaires ou bien qu’ils les perdent. « Et alors ? A ce que je sache il n’est pas marquée la poste sur mon front. Vous ne voudriez pas que je crapahute dans tout Pelagia pour trouver ce « monsieur » qui n’est pas capable de garder ses affaires ? » Parlait-elle alors avec ses mains. Elle tournait la tête à nouveau vers le propriétaire, qui n’était toujours pas revenu. Un grognement entremêler à un soupire grondait dans sa bouche. Sa main frappa le rebord de colère. La scientifique se retournait alors vers l’handicapé. « A ce que je vois, vos doigts sont pas fait de bois Pinocchio, alors vous pouvez très bien l’appeler pour qu’il revienne la chercher. »
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« PELAGIA »
| Sujet: Re: [Quête] Petits papiers — N. 0 — Janvier 125 | LIBRE 13.11.15 19:24 par Seisyll E. Hilbilge | Citer Editer Supprimer |
| Dame désagréable, dame de l’étage intermédiaire qui se prend pour une grande dame du niveau 1, voilà ce qu’elle est. Ce qui accroit le dédain et le peu de considération que lui porte Seis. « Cueillez, cueillez votre jeunesse : comme à cette fleur la vieillesse fera ternir votre beauté. » Dit un poème de la surface. Cela lui correspond bien. Alors il ne lui porte plus aucun intérêt, il se contente d’observer les documents qui se révèlent d’ailleurs ne pas être le dit « Latimer » après lecture attentive du document. A moins de s’envoyer des lettres à sois même. Au final, il n’en tire rien de très concluant mais la chose a fini par aiguiser son esprit. Finalement, Paon n’apporte pas que des embêtements de ses parties de chasse insolite. Mener l’enquête. Non content de bien sonner, il y a quelque chose qui a piqué son intérêt. Faisons le point. Seisyll sait monter les intrigues, non pas les démonter, alors la chose se présente comme un défi. Réfléchissons. Pour que cette serviette atterrisse au quartier Est, il n’y a pas beaucoup de possibilités. D’abord une première. Son propriétaire peut faire tout simplement parti d’Aronde. Dans ce cas, il sera aisé de le retrouver, un simple passage au siège de la compagnie devrait suffire. Seulement, il maintient, il ne peut pas se rendre à Aronde sans bonne excuse, de peur d’exciter les caméras de surveillance dont le siège est probablement truffé. Sûrement moins que Corb. Moins que Magnus eux-mêmes en tout cas. Il a beau avoir changé physiquement, paraitre dix ans de plus, boiter, être en mauvaise état, il doute cependant pouvoir tromper l’œil aiguisé d’un analyste dans la foule trop éparse d’un hall d’Entreprise. Même si sa mort semble être une réalité en tant que « lui ». Seulement, Aronde n’est pas la seule solution. Le quartier Est n’est-il pas le quartier des plaisirs. Son propriétaire peut très bien être un des clients des cabarets ou des maisons closes. Et dans ce cas, il ne clamera pas avoir perdue une pochette de papier censément important dans le quartier décadent. Il a cependant un indice, un numéro de téléphone dans l’entête d’une des pages. Le boiteux a griffonné l’indicatif sur un papillon de papier qu’il glisse dans sa poche. Seisyll, sa lecture finie, range avec soin les papiers dans la serviette. Même dans un acte délictueux, son toc est là, fait sa besogne, allonge le temps qu’il passe dans ce café. La seconde tâche sera plus ardue. Demander à Paon de lâcher la lanière. Un chat normalement constitué se lasse rapidement d’une activité de jeu, pour un temps, avant d’y revenir. L’attention d’un chat, quand ce n’est pas pour se remplir l’estomac, n’est-elle pas volatile ? En même temps, un chat normalement constitué ne porte pas un intérêt presque pathologique aux bas. Alors Seis tente gratouille, chatouille avant de réussir à détourner son attention en jouant, l’embêtant le titillant, en profitant pour récupérer la précieuse pochette. « Vous n’avez pas tort, madame, c’est bien pour cela que je vous quitte. Il serait mal venu que je téléphone au propriétaire devant des oreilles indiscrètes et des regards de mégère sans manière ni politesse. Attaquer un inconnu ou même un être connu de la sorte, sans finesse ni mesure, quand l’on veut tenter d’atteindre et de paraître de la « haute » – malgré toute vos manières, vous n’en faites aucunement partie, vos partenaires d’affaire vont déchanter – n’est pas dans les convenances et montre un esprit épais et sans intérêt. » Sur ce, il se lève, s’appuyant sur sa canne. Il se rêve une troisième main, se résout à faire en sorte à ce que le félin suive sa main nourricière au moins pour un temps. Le plus urgent est de lui faire regagner ses pénates pour commencer la chasse au propriétaire et emprunter le téléphone de sa logeuse un peu dure de l’algue. De sa démarche claudicante, il s’éloigne, non sans avoir glissé un pourboire de quelques piécettes pour le dérangement occasionné. |
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« LÉGENDE URBAINE »
MESSAGES : 1034 POINTS : 4128 DATE D'INSCRIPTION : 24/06/2014
| Sujet: Re: [Quête] Petits papiers — N. 0 — Janvier 125 | LIBRE 17.11.15 0:17 par Le Juge | Citer Editer Supprimer |
| C’est dans un grand coup de porte qu’il était entré dans le bar vide. Gigi, si là était son vrai nom, était un homme plutôt petit, trapu, et avec une forte bedaine qui dépassait de sa ceinture. Son feutre était plus grand que sa tête ronde, et en le regardant au loin on avait l’impression de voir une petite fourmi ouvrière venir se plaindre aux grandes travailleuses. Gigi était plus qu’un habitué du bar, et en partant tout à l’heure, il avait oublié le dossier qu’il devait étudier. Heureusement pour lui, vous l’aviez trouvé.
Oh mon dieu ! Vous l’avez ! Haha ! Merci, merci beaucoup, j’ai vraiment cru que… que je l’avais perdu.
Il se saisit de sa sacoche dans les bras de l’homme qui était sur le pas de la porte, juste devant lui. Petit le Gigi, mais assez fort et tenace pour récupérer son dû. Tout était là, intact, et il regarda de travers celui qui avait retrouvé son bien tout en continuant de le remercier malgré tout.
C’est mon client qui va être content, ce genre d’informations, il faut y faire attention. Je vous en serais gré de garder mon étourderie pour vous. Puis il regarda la femme, derrière. Ok ? De toute façon, personne d’autres n’était dans le bar. Pfiou, je mérite un petit verre. Tenez, pour vous remercier. Il tendit un billet à l’homme dont il avait repris sa sacoche et le lui glissa dans la main, en contrepartie, puis fila derrière le bar comme s’il était chez lui se servir directement dans les réserves de scotch.
Gigi était sauf, ses informations aussi. De toute façon, ce n’est pas comme si quelqu’un pouvait y comprendre quoi que ce soit, sans savoir vraiment qui était Gigi.
- Spoiler:
Bonjour,
Il n’est pas prévu que le niveau 0 s’arrête aussi vite, mais au regard de vos réponses je ne vois pas quoi faire d’autre. Vous aviez nom, que vous décidez ne plus être celui du propriétaire, refusez d’appeler le numéro trouvé, partez en avance… Le principe de ces sujets est d’être creusé à plusieurs, et faire avancer le schmilblick. Si vous bloquiez, aviez besoin d’aide, une petite demande dans le sujet d’organisation avant aurait été bien plus simple. C’est dommage de ne pas avoir voulu y donner du sien, donc plutôt que cela continue dans ce sens, autant le clore tranquillement.
Le niveau 1 va donc être disponible, et vous n’êtes pas obligé d’y participer. Le reste des informations va être postées dans votre topic d’organisation.
FIN DE LA QUÊTE Vous pouvez aller réclamer vos points dans le sujet des RPs terminés |
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| Sujet: Re: [Quête] Petits papiers — N. 0 — Janvier 125 | LIBRE par Contenu sponsorisé | Citer Editer Supprimer |
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