La réincarnationLa réincarnation dans son origine : Loki est le dieu nordique du chaos, de la ruse. Sans être fondamentalement mauvais, mais doté d’un sens de la moquerie bien développé, il n’en reste pas moins fourbe et passe son temps à mettre ses pairs dans les pires situations possibles pour le plaisir de démêler les nœuds de l’intrigue qu’il a lui-même montée.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Loki La réincarnation dans le forum : Un certain cynisme et une belle tendance à se moquer des gens qu’il ne porte pas dans son cœur, juste pour le plaisir de le faire. Cependant, au fond, c’est une personne sur laquelle on peut compter (même si ça dépend pour quoi).
Le physiqueTaille : 1m81
Poids : 75kg
Morphologie générale : Normale de chez normale.
Cheveux : Noirs, toujours ramenés en arrière.
Yeux : Ni totalement verts ni totalement dorés.
Voix : Assez cynique mais posée, soupire beaucoup.
Odeur : De vieux papier et de bois thuya.
Style vestimentaire : Elégant mais confortable.
Signes particuliers : Très légère cicatrice sur le dos de la main gauche.
Le caractèreUn mot/phrase qui le définit : Rancunier.
Son but : Obtenir que son père le laisse vivre comme il l'entend.
Tics & manies : Triturer les bords de son col quand il est nerveux, soupire beaucoup et presque pour rien, doté d'une tendance au cynisme.
Phobies : Peu à l'aise avec les hauteurs.
Hobbies : Dénicher des vieilleries et casser du sucre sur le dos du gratin dont il est issu, embêter son chat.
Aime : Les livres, les vieux livres, les vieux objets, les chats, le passé.
Aime pas : Son père, éventuellement, l’avenir, le gratin et ses conventions/occasions/quoi que ce soit d'autre.
Qualités : Honnête, doux, réaliste, curieux, sait malgré tout être un très bon menteur, attentif, analytique.
Défauts : Rancunier, vindicatif, cynique, moqueur, fourbe, s’ennuie assez vite, casse volontiers du sucre sur le dos du gratin dont il est issu, mauvais joueur.
L'habitantQue pense-t-il de la cité ? Que c’est un bel exploit de vivre au fond de la mer.
Que pense-t-il des groupes ? • Le Conseil : Du moment qu'ils servent... C'est tout ce que Gil attend d'eux, il ne se mêle pas spécialement de ce côté-ci de la vie de Pelagia, il regarde en bon spectateur et écoute ce que les gens colportent sans vraiment être intéressé. Pour lui le Conseil est un élément comme un autre qui n'a d'intérêt que momentanément.
• Aronde : C'est grâce à eux qu'on en est là maintenant, et Gil est assez admiratif de leur travail et des techniques qu'ils sont capables de mettre en place pour que la ville prospère.
• Magnus : Et si on essayait une coupe budgétaire sur eux ? Gil ne les aime pas, encore moins ce qu'ils représentent. Ils font la pluie comme le beau temps à Pelagia, mais surtout la pluie selon les points de vue et la première question qui vient à l'esprit du jeune homme est « seraient-ils capables de se débrouiller aussi bien si on leur bloquait les fonds ? »
• Corb : Ils sont utiles, vraiment, et là-dessus il n'y a pas vraiment à discuter. Corb est une entreprise de sciences, et les sciences sont des choses utiles à tous points de vue. Même s'il désapprouve vaguement leur initiative de la création des Essences, il ne nie pas leur utilité au sein de la ville.
• La Compagnie : Un groupe d'anarchistes, ça, non ? Encore une fois spectateur, Gil se contente d'observer et d'écouter et ne se mêle pas spécialement de ce qui sort de son domaine. Pour lui, la Compagnie est un groupe d'anarchistes, point barre, il n'y a pas grand'chose à y faire et il n'est ni prêt à les rejoindre, ni prêt à les arrêter.
• Citoyens : Home, sweet home. Gil fait partie de cette espèce lambda que sont les citoyens de Pelagia au grand complet. Qu'ils soient de différents niveaux ou pas, les citoyens restent les citoyens et constituent la majeure partie de la ville, autant dire qu'ils sont la base parfaite pour avoir tous les ragots possibles et imaginables qui traînent dans les rues.
Son point de vue sur le temple poupre : Il n'était pas présent lors de l'attentat, mais une question subsiste : l'identité du poseur de bombe, on la connaîtra dans une autre vie, en fait, c'est ça ?
Son point de vue sur la tête coupée : Un de perdu, dix de retrouvés... ? Non ? Ca a l'air d'une évidence pour Gil que ce n'est pas couper une tête qui va arrêter un groupe aussi soudé et déterminé que la Compagnie.
Son point de vue sur la dame blanche : La question ça reste "pourquoi" elle s'est suicidée. Si c'était bien un suicide. Gil a encore un peu de mal à croire à la thèse du suicide, qui arrive quand même comme un cheveu sur la soupe au milieu des autres nouvelles.
À quel couple de divinités est-il le plus attaché ? Juve.
Son point de vue sur les essences : Côté effets, ça a l'air pas mal, mais très peu pour lui. Ca ne l'a jamais intéressé, jamais attiré.
Est-il prêt à prendre part à divers conflits ? Ca se pourrait bien.
L'histoireSa famille : Stieg Dylman, son père, avec qui la stratégie est simple : marche ou crève. Sans pour autant vouloir sa mort, Gil ne l’apprécie pas non plus, percevant les attentes paternelles comme hostiles et sujettes à conflits, lesquels sont fréquents.
Agneta Dylman, sa mère, avec qui il s’entend mieux qu’avec son père, même s’ils ne se comprennent pas toujours. Elevée dans les normes de la société, elle se demande pourquoi son fils est si peu impatient d’y coller, et lui ne comprend pas comment elle peut à ce point s’y plaire.
Son histoire : Une vie confortable pour un habitant des hautes sphères. Fils, évidemment unique, du couple Dylman, Gil a depuis sa plus tendre enfance reçu l’éducation allant de pair avec son « rang », chose qu’il considère comme une lubie de son père voulant un héritier parfait à qui léguer la bibliothèque à son départ (lequel signifiant sûrement « à sa mort »).
Ce n’est pas pour autant que cette qualité de lègue lui a facilité la vie. Stieg Dylman étant adepte du « marche ou crève », Gil a dû côtoyer les bancs de l’école et de l’université pour obtenir lui-même un diplôme, le seul soutien de son père étant la rémunération de son travail à la bibliothèque qui lui a permis de payer ses études, et plus tard, de pouvoir s’éloigner de la maison familiale et de se trouver un appartement confortable dans le niveau 1, ainsi que d’adopter un chat.
Cependant, Gil ne refuse pas de travailler à la bibliothèque à la suite de son père, plus attiré par l'endroit et ses nombreuses facettes que par son rôle de lègue, ce qui fut d'une grande motivation lors de ses études.