La réincarnationLa réincarnation dans son origine : Claude Frollo de
Notre Dames de Paris par Victor Hugo et
Du Bossu de Notre Dame des studios Disney.
Austère, calme, sombre, imposant, majestueux, menaçant, impérieux, grave et morose, voilà en quelques mots, Claude Frollo. Dom Frollo est un personnage de Victor Hugo à la base, adapté par la suite par les studios Disney dans le Bossu de Notre-Dame.
Il est considéré comme un méchant, pourtant il n’a jamais été comparé comme tel par son créateur. Claude Frollo prend place dans une mascarade où personne n’est innocent, même s’il amène à faire souffrir, manipuler ou contrôler d’autres personnages. Esmeralda est une adolescente aguicheuse, le capitaine de garde est un coureur de jupons, Quasimodo une brute épaisse. En somme, c’est un homme qui a ses propres défauts dans un monde sordide et cruel.
L’histoire prend place dans le Moyen Âge classique dans la ville de Paris et à la stature imposante de la cathédrale Notre-Dame. Frollo est l’ainé d’une famille de petite noblesse, destiné dès l’enfance à l’état ecclésiastique –dans Disney il sera un juge. C’est un homme brillant, qui dès ces dix-huit ans se retrouve docteur en théologie, en droit, en médecine et dans les arts. Très jeune, il se retrouve orphelin, et se retrouve tuteur son jeune frère nouveau-né. C’est à cette même période qu’il recueille un enfant abandonné, difforme, Quasimodo.
Claude est le modèle de l’intellectuel brillant, avide de connaissance et de reconnaissance, tiraillé entre le « bien » et le « mal ». Sous une sainteté feinte, il convoitise ce que les autres possèdent et que par sa condition d’homme saint il ne peut avoir. Esméralda, les choses intellectuelles. Mais également cet instinct de domination.
En automne 1481, il voit la tsigane se produire sur le parvis de Notre-Dame, et il en tombe profondément amoureux. C’est à partir de ce moment qu’il en vient à être obsédé par elle, et il fera tout pour la posséder. Par trois reprises il essayera, pour finalement la faire tuer ne pouvant l’avoir.
Au final, c’est un homme tellement possédé par un feu ardent, qu’est l’amour, qu’il en vient à comprendre qu’il possède une chair qui brûle de désire pour un être humain. A mi-chemin entre le dégoût et la luxure, il se retrouve comme un funambule qui a besoin de détruire et de se détruire pour trouver du repos.
La réincarnation dans le forum : De Frollo Wanda en retire beaucoup de chose. Contrairement à lui, elle n’est pas quelqu’un d’érudit, bien au contraire, lui qui multiplie les savoirs, elle multiplie les fonctions. Il est docteur en religion, en art, en science et dans les langues, elle travail au bas de l’échelle, dans les mêmes domaines, la religion elle est Netjeret, l’art elle travail au cabaret, même si cette forme d’art est plus « dégradante », la science avec son côté maternel elle sait donner les premiers soins, les langues, elle chante.
Wanda est ce que l’on pourrait qualifier d’infâme et de méchante, mais elle aussi évolue dans autour de personnes mauvaises, et qui n’aide pas à effacer ses défauts. D’ailleurs cette passion extrême pour la religion est la même, pourtant Wanda ne se retrouve pas encore diviser entre la foi et quelque chose d’autre.
Ce feu, dont Victor Hugo parle encore et encore dans son roman, que Disney personnifie, Wanda elle y est obnubilé, elle ne peut pas s’empêcher de s’extasier de se brûler face aux flammes. Et ce nombre trois, qui représente la trinité, que Frollo admire et aime, Wanda elle s’en retrouve sans s’en rendre compte lier à cette dernière, l’amenant à avoir des tocs.
La possession d’Esmeralda que désire Frollo, elle Wanda désire bien plus que posséder Yseult Verbeek physiquement, et du côté caractère sexuelle de la chose. Elle veut devenir elle, comme s’il s’agissait d’une fusion extrême.
Au final, c’était comme si Frollo avait possédé les personnages dont il était jaloux, et en prenant les pires côtés des facettes de chacun des personnages de l’œuvre.
Le physiqueTaille : 1m57.
Poids : 60kg.
Morphologie générale : Robuste. Wanda ne risque pas s’effriter à la première pierre jetée.
Cheveux : Brune, elle possède des reflets acajou. Une longue crinière abîmée et sec attachée le plus souvent. Elle a parfois des racines grasses.
Yeux : Des yeux vairons. Cela est assez discret, mais lorsque l’on regarde bien, Wanda possède un œil bleu tandis que l’autre tant vers le vert.
Voix : La voix de Wanda est particulière, nasillarde, avec un franc parlé et un vocabulaire assez particulier. Toutefois, on se serait dire si elle est basse ou aiguë lorsqu’elle parle, tant son accent est présent, en revanche, lorsqu’elle chante, c’est une puissante voix grave et cassé qui sort de ce bout de femme.
Odeur : Une forte odeur de savon masque parfois une odeur de sueur mélangé à une odeur de cigarette. A cela s’ajoute une touche d’agrume.
Style vestimentaire : Dans le cadre de son travail, elle se voit amenée à porter des vêtements extravagants et peut couvrant. Mais sinon sa garde robe se compte sur les doigts de la main. La plupart sont usées, aux formes, et textures simples. Des robes ou des jupes avec des cardigans sur les épaules. Malgré tout, elle possède des habits du dimanche, en bon état. Dans son sac à main, elle a une arme à feu chargé.
Signes particuliers : Wanda est légèrement bossue à force de ne pas se tenir droite. Elle a des vergetures sur le ventre et les cuisses. Sur son dos ce trouve une marque au fer rouge, un mauvais souvenir de prison. Et des cicatrices ici et là du à des accidents de la vie courante.
Le caractèreUn mot/phrase qui le définit : Si je ne peux l’avoir, personne ne l’aura.
Son but : Posséder la vie d’Yseult Verbeek, c’est un but uniquement personnel qui se niche au plus profond de sa chair. Cette recherche du pouvoir, de la reconnaissance, d’autorité, fait partie également de ses convictions. Wanda cherche à se venger des autres. Pour la Compagnie, elle possède les mêmes désirs qu’Angus.
Tics & manies : Elle a un toc, qui fait que sur certaines actions de la vie courante, elle est obligée de les répéter trois fois, comme par exemple, frapper à la porte, ou bien lorsqu’elle allume la lumière. Elle claque sa langue contre son palais. Lorsqu’elle prend un bain, elle se récure tellement, qu’elle en a la peau rouge. Elle s’abime les mains. Elle adore jouer avec le feu, qu’il s’agit avec un briquet, ou bien même à en bruler sa propre chair ou bien celle d’autrui.
Phobies : Elle a peur d’être en hauteur, se retrouver perchée sur un tabouret est le maximum qu’elle peu supporter. D’avoir des poux, ou bien de trouver dans sa chambre des rongeurs.
Hobbies : Le tricot et le crochet.
Aime : Le feu (elle a des tendances pyromanes), la musique, les repas conviviales, la douleur et la peine, la chair.
Aime pas : Perdre, se faire doubler, que l’on parle d’elle en mal à son insu, qu’on l’oublie, que l’on déforme ses propos, que l’on se moque d’elle, qu’on met en doute son autorité et son pouvoir, et le complot.
Qualités : Pieuse, envers Hatti seulement.
Maternelle, elle cherche à pallier l’absence de son enfant.
Austère, elle n’hésitera pas à faire fléchir la chair si on lui désobéie.
Morose, Wanda ne sourira pas de bon cœur, et si elle fait, il y a de fortes chances que ça soit un mensonge.
Bon vivante, elle ne fait pas la fine bouche sur la nourriture.
Tenace, elle n’en démord pas facilement.
Défauts : Obsédée, elle n’arrive pas à faire part dans ses prérogatives.
Compulsive, elle fait des choses par moment sans penser au futur.
Mythomane, elle se réinvente une vie. Colérique, elle n’aime pas qu’on lui dit non. Violente, le sang ne lui fait pas peur.
Jalouse, que ça soit dans le domaine de l’amour ou tout autre, elle ne peut acceptée que d’autres ont ce qu’elle a.
Homophobe, c’est contre nature. Extrémiste, elle ne fait pas les choses dans la demi-mesure.
Possessive, lorsqu’elle a quelque chose, rien ne pourra lui être prit sans en payer les conséquences.
Autoritaire, non n’est pas une réponse convenable.
Imposante, lorsqu’elle veut se faire entendre, elle n’hésite pas à hausser la voix et à en avoir une aussi grave et semblable à Angus.
L'habitantQue pense-t-il de la cité ? Pelagia est une bénédiction, mais qui regroupe ses facettes d’ombre. Ne connaissant que cela, et sachant pas ce qu’il y a la surface, c’est qu’elle existe pour une bonne raison. Peut-être qu’ils sont tous difforme en haut, qui sait. Malgré tout, la cité entrave la jeune mère qui désire les briser pour se retrouver.
Que pense-t-il des groupes ? • Le Conseil : Ils ont tous ce que Wanda a toujours désiré un nom, du pouvoir, une reconnaissance. C’était comme s’il avait tout en claquant des doigts, et pour cela elle les jalouse avec une hargne féroce. Le fait que la déité soit morte, elle le considère comme son œuvre, et elle compte bien encore continuer ainsi, jusqu’à ce qu’il ne reste plus personne. Et dans ses rêves, elle se portera comme un être miséricordieux, envers les Pelagians pour les avoir délivrer de cette soumission, car le pouvoir ne peut pas se partager.
• Aronde : Ses fausses idoles misent en avant, qui regardent où que l’on aille, des visages de mensonges lancés à la plèbe comme si les paroles de ses faux dieux étaient réelles. Elle leur en veut, tout autant qu’au conseil pour avoir saccagé le culte d’Hatti, les aidants à les rendre interdites et en effaçant tout existence d’eux. Mais il n’y a pas de que pour ça qu’elle leur en veut, le niveau de vie du niveau 3, cette prison qui tombe en ruine, et encore beaucoup de choses.
• Magnus : Des monstres qui se cachent derrière des masques sans noms, où les sourires gouvernent, mais où le sang coule. C’est une rancœur sans nom qui se dissimule au plus profond de son être. Bouffé par la colère, elle en vient même parfois à arracher les affichettes qui serve de publicité, car elles sont émises par un bourreau invisible.
• Corb : Elle pourrait les haïr, les détestés, et tout autre synonymes qui conviendrait, mais elle a du mal. Même ce pourquoi elle les tient responsable, mais il y a lui. Une parcelle de son désire de possession qui lui tord les entrailles. Au final elle se retrouve tirailler entre l’envie de détruire et celle d’aimer Corb.
• La Compagnie : Oh elle pourrait considérer la compagnie comme son petit Quasimodo, primaire, bestiale, bossu, tordu, handicapé, et au final lui donner de l’amour. Mais elle à du mal, elle a l’impression d’avoir affaire à une bande de couard, des petits bambins, parti se cacher sous les jupons de leurs mamans, en attendant. Malgré tout, elle leur ment, elle leur fait croire qu’elle les aime, sans honte et sans vergogne, après tout c’est dans sa nature. Mais elle n’hésitera pas à décimer ses propres rangs, s’ils ne savent pas se montrer à la hauteur de ses espérances.
• Citoyens : Le point de vue de Wanda sur les Pelagians est flou. Elle ne serait dire, s’ils sont bénéfique ou au contraire, sont un petit poison, qui comme Jehan quémande et ne fait rien. Avec le nombre qu’il représente, il pourrait faire tellement de choses, s’il se mettait sous l’aile d’un chef, sous son aile. Il faut donc les ameuter à la cause de la compagnie, à sa cause, ou sinon périr.
Son point de vue sur le temple pourpre : Oh elle n’était pas présente, malheureusement. Dans la prison, ce cachot humide, elle jubilait à l’idée de voir ses fausses divinités se faire submerger par les flots. Lorsqu’elle avait eu la chance d’entendre et de mettre Angus sur ce projet, elle jubilait déjà. Même si dans son cœur, elle regrette presque de ne pas avoir vu, cette statue de Trab éclater en mille morceaux…
Son point de vue sur la tête coupée : Une honte, une calomnie ! Elle aurait voulu pouvoir entendre ses dernières paroles. Comment ont-ils osés s’attaquer à ce géant, à cet homme bon –selon elle. Sa mort est survenue bien trop tôt, et dire qu’elle n’était pas là, lorsqu’il était mort, avant et après. Elle aurait du être là, pour garder les petits sous son ailes, et qu’il ne se disperse pas ainsi. Il va falloir du temps pour reconstruire ce qu’ils ont détruit en le tuant.
Son point de vue sur la dame blanche : Cette catin n’a eu que ce qu’elle méritée. Wanda s’attribue sans honte ce geste, et elle en est fière. Après tout, quel honte d’avoir tout ce qu’elle avait, tout ce que Wanda n’a pas, et d’oser le réduire en cendre de cette façon. D’une certaine façon Wanda désire posséder Yseult et devenir elle. Même si elle agit de façon morbide et malsaine.
À quel couple de divinités est-il le plus attaché ? Hatti, le reste peu aller brûler dans un brasier sans visage et périr sans nom.
Son point de vue sur les essences : Elle n'a pas réfléchie à cette question. Elle en prend, car c'est beaucoup moins cher que d'autres choses, et que cela remplit l'estomac. Elle remarque quelque désagrément, mais ce n'est pas encore fort visible pour la perturbé d'avantage et son esprit est centrée sur quelque chose d'autre.
Est-il prêt à prendre part à divers conflits ? Oui, sinon son existence n'aurait pas lieu d'être. Et même depuis l'au-delà, si elle devait mourir, elle fera en sorte de diriger encore.
L'histoireSa famille : • Sa mère : Joséphine Le Gall, une femme qui était issu du niveau 2, mais qui voulait avoir le train de vie d’une diva sans travailler, elle se retrouva alors rétrogradée au niveau 3. C’est une femme de petite vertu, qui ne mérite pas d’avoir le nom de mère. Elle est une alcoolique notable. Pourtant, suite à un mariage de bonne fortune, elle est retournée vivre dans le niveau 2.
• Son fils : Gaspard Le Gall, c’est un petit garçon, dont le père est son soi-disant mari de prison, dont Joséphine à la garde. Wanda, a pue jouer le rôle de mère qu’une semaine, avec son enfant, avant qu’il lui soit retiré, pour d’après les dire de mauvais traitement. C’est Joséphine qui en a la garde, et elle lui refuse toute visite.
• Son époux de prison : Il ne vaut mieux pas en parler, c’est l’un des chefs de la prison, une brute épaisse et sans nom, dont il vaut mieux pas qu’il ressorte un jour de ce cachot de mort.
Son histoire : An 98 : Naissance de Wanda. L’identité de son père peut-être à l’origine de plusieurs hypothèses, mais au final, on ne sait pas qui en a la paternité. Sa mère quand a elle, mène une vie décousue dans le niveau 3.
An 98 à 118 : Wanda grandit dans les mains de plusieurs personnes et ne voit presque pas sa mère, elle a été élevée parmi les enfants des prostituées. Elle se lie d’une amitié étroite avec Angus, qu’elle le considère presque comme son frère. Même si elle le jalouse de sa stature, qui le rend presque intouchable. Vivant dans la pauvreté, elle n’effectue pas d’étude supérieur, et arrête comme tous les enfant à 16 ans. Elle se trouve un petit travail dans le Blue Velvet et grâce à sa voie et à son caractère elle arrive à se produire sur scène et à chanter. Malheureusement, elle ne fait pas que cela.
An 119 : Suite à un attrait presque malsain pour Hatti, Wanda regroupe des personnes, qui ont le même attrait qu'elle pour Hatti, et reproduit les rites et cérémonie en cachette du groupe divin à l'aide de transmission orale, essentiellement des femmes. Wanda quand a elle, rejette toute autre forme de religion.
An 120 : Elle rejoint la compagnie, et entraine son groupe avec elle, car Wanda a confiance en Angus. Toutefois, elle désire garder son indépendance. A partir de là, elle apprend à « diriger » un groupe comme la Compagnie. Angus lui fait comprendre que c’est à elle qui léguera son projet si un jour quelque chose devait lui arrivé. Malgré tout, il a des réserves sur sa condition de femmes.
An 122 : Lors d’une tentative d’attentat en compagnie d’Angus et d’autre monde, le groupe risque de se faire prendre. Wanda préfère ce dénoncé aux autorités pour une action moindre afin de protéger son groupe. Elle sera envoyée en prison.
An 124 : Wanda sort de prison, elle est enceinte de l’un des multiples chefs de la prison. Elle apprend ce qui c’est passé depuis son absence, elle se retrouve sur les bras avec un enfant mort née, la compagnie. Elle doit se battre et regrouper les anciens membres pour faire revivre ce groupe. Elle accouche en même temps que la Dame Blanche. On lui dit que son Gaspard est le plus beau enfant au monde, elle n’arrive pas à le lâcher d’une semelle, mais suite à son passé, on lui retire sa garde, qui revient à sa mère. Durant cette période, elle espionne la Dame Blanche, c’est une haine viscéral pour son attention à la religion, mais en même temps une jalousie maladive et lorsqu’au milieu d’une conversation détournée, elle apprend qu’il s’agit d’un enfant hors mariage, un bâtard, Wanda se laisse submerger par son caractère et commence à la faire chanter, pour la blesser et obtenir justice. Et lorsqu’elle c’est suicidée, la révolutionnaire voulait aller encore plus loin, et elle met en place son plan, petit à petit pour avoir sa place.
An 125 : Suite à un problème d’ordre publique et financier, Wanda est renvoyé en prison.
Mars 125 : Wanda est de retour dans la cité, et elle compte bien y rester.